Quel avenir pour site Lyon St-Etienne ?

Suite à l’échec de l’IDEX, une nouvelle configuration se dessine sur le site Lyon St-Etienne. La gouvernance et les élu.es AGIR de l’Université Lumière Lyon 2 participent activement aux discussions et projets portés par les établissements du site, à plusieurs niveaux.

COMUE Université de Lyon : un nouveau CA et bientôt un nouveau président

Un nouveau CA de l’Université de Lyon a été mis en place en septembre 2022. Des élus AGIR y siègent, au sein des listes ENSEMBLE, composées de 8 enseignant.es-chercheur.es (Lyon 2, Lyon 3, St-Etienne, Sciences Po Lyon, VetAgro Sup) qui portent le projet d’une COMUE au service des établissements, de leurs personnels et de leurs étudiant.es.

Le principal enjeu du CA en ce début d’année porte sur l’élection du président de l’UDL, sous administration provisoire depuis plusieurs mois. En décembre, deux candidats se sont présentés : Frank Debouck, ancien directeur de l’Ecole Centrale de Lyon et Jim Walker, actuel Vice-président de notre université, élu AGIR.

Les élu.es ENSEMBLE ont choisi de voter pour Jim Walker. Malheureusement aucune majorité ne s’est dégagée pour départager les candidats: une nouvelle élection doit être organisée le 1er mars 2022.

Excellences sous toutes ses formes (PIA4) : la santé au sens large

L’appel à projet «Excellences sous toutes ses formes» est au cœur des financements de la 4ème vague du Programme d’investissements d’avenir (PIA4) dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Un premier projet non retenu

L’Université Lumière Lyon 2 a activement contribué à la construction d’une réponse à cet appel à projet avec les autres établissements lyonnais (en particulier les 3 universités, les écoles d’ingénieurs et les HCL), dans le cadre d’un travail qui a mobilisé de nombreux laboratoires et composantes de l’université. Intitulé LYNX, le dépôt de ce projet a été approuvé lors d’un CA dédié à ce sujet en juin 2021. Un projet TOOLS a également été déposé, porté notamment par l’ENS Lyon. Aucun des deux projets n’a été retenu.

Un second projet soumis début février

Dans un délai très court, entre fin novembre (notification résultat vague 1) et le 1er février (date limite vague 2), les établissements ont dû proposer un projet retravaillé. Après des échanges dans diverses instances (CAC, CDC, Bureau, etc.) ainsi qu’avec les deux listes d’enseignant.es-chercheur.es (AGIR et CHANGER), ce nouveau projet a été présenté lors du CA du 28 janvier 2022 qui s’est prononcé en faveur de son dépôt.

Intitulé SHAPE-Med@Lyon, ce nouveau projet est recentré sur une thématique, la santé. Il s’agit de construire un projet scientifique et pédagogique structuré par une forte interdisciplinarité entre les SHS, les disciplines médicales et l’ingénierie dans le domaine de la santé, entendue au sens large (One Health, santé publique, médecine personnalisée et participative…). Il doit aussi jouer le rôle de démonstrateur pour préfigurer d’autres projets sur le même modèle.

Ce projet est porté par les Universités Lyon 1 et Lyon 2, ainsi que VetAgro Sup, et les HCL. Toutefois, l’ensemble des établissements du site Lyon St-Etienne seront éligibles aux financements prévus dans ce cadre.

Ce projet n’est pas conditionné à une réorganisation du site (fusion d’établissements ou autre). Il mentionne toutefois les réflexions qui sont actuellement initiées entre les établissements, et qui ont été débattues lors du CA du 28 janvier.

Consultez la présentation du projet sur le site web de l’université.

Structuration du site : réflexion sur un rapprochement Lyon 1-Lyon 2

Le CA du 28 janvier a été l’occasion de débattre des pistes de travail proposées par la gouvernance AGIR quant à la structuration du site.

Retrouvez sur l’intranet de l’université les délibérations et l’enregistrement audio du CA du 28 janvier 2022

De nombreux éléments laissent penser qu’une évolution du paysage académique lyonnais est désormais nécessaire pour mener à bien nos missions, dans de bonnes conditions. Le Ministère, les collectivités territoriales, comme de nombreux partenaires socio-économiques ne comprennent pas la situation lyonnaise. Par conséquent, il devient de plus en plus difficile d’obtenir des moyens financiers supplémentaires dont nous avons cruellement besoin.

Le travail de la gouvernance AGIR auprès des partenaires du site permet désormais à l’Université Lumière Lyon 2 d’être motrice dans les réflexions sur l’avenir du site. La collaboration menée ces derniers mois entre Lyon 1 et Lyon 2, notamment autour du projet scientifique construit dans le cadre du PIA4, laisse penser qu’un rapprochement entre les deux établissements pourrait avoir du sens.

Un tel rapprochement permettrait de créer une structure pluridisciplinaire attendue par l’État, les collectivités, les partenaires socio-économiques ainsi que le organismes nationaux de recherche. Les deux établissements rassemblent, par ailleurs, les plus importantes capacités de recherche du site lyonnais. De plus, l’impact de ce rapprochement serait limité pour les unités de recherches et les composantes ; les deux universités ayant relativement peu de disciplines en commun.

Les présidences des universités de Lyon 3 et St-Etienne ont indiqué ne pas vouloir engager leurs établissements dans cette réflexion. Les discussions restent cependant ouvertes et les informations constamment partagées. Par ailleurs, le Ministère a laissé entendre qu’il ne fournirait pas les moyens nécessaires à un rapprochement entre Lyon 2 et Lyon 3.

Les élu.es AGIR ont bien conscience qu’une telle perspective n’est pas anodine. Elle nécessitera de longues discussions avec l’ensemble des personnels de l’établissement, mais aussi avec les étudiant.es qui doivent être associé.es à cette réflexion. Il n’est pas envisageable d’imposer à qui que ce soit une restructuration à marche forcée qui aurait pour seul objectif de créer un « gros établissement ». Nous serons particulièrement attentif/ves à la façon dont une telle transformation pourrait impacter les personnels administratifs qui seraient à l’évidence davantage touchés, en particulier dans les services centraux. Si les conditions d’un rapprochement favorables à l’ensemble des personnels et étudiant.es ne sont pas réunies, ou si la réflexion sur cette transformation n’associe pas largement la communauté Lyon 2, les élu.es AGIR ne valideraient pas ce projet.

Pour cette raison, en accord avec la majorité des membres du conseil d’administration, les élu.es AGIR ont approuvé la délibération qui « demande à ce que la réflexion sur une éventuelle structuration du site soit menée dans le cadre d’une large concertation avec l’ensemble des personnels et des étudiant.es et fasse l’objet de consultations et décisions ultérieures des instances ». Ce projet devra ainsi, dans sa construction comme dans son fonctionnement institutionnel, porter une université ouverte, démocratique et solidaire.

ENSEMBLE Pour une coordination du site Lyon-St-Etienne au service de tous les établissements

Des élus Lyon 2 se sont associés avec des collègues d’autres établissements du site Lyon-St-Etienne, universités et écoles, pour présenter des listes aux élections du Conseil d’Administration de la COMUE Université de Lyon. Intitulés ENSEMBLE, ces listes sont les seules à se présenter à ces élections, dans les collèges 4A (PR) et 4B (MCF).

Un projet fédérateur : une nouvelle coordination de site pour succéder à l’UDL

Les listes ENSEMBLE portent un projet clair pour l’avenir la coordination du site Lyon-St-Etienne : il faut reconfigurer la COMUE pour qu’elle devienne une structure souple et transparente de coordination au service des établissements membres, de leurs étudiant-es et de leurs personnels. Cette coordination ne doit pas avoir vocation à se substituer aux établissements qui restent autonomes et responsables de leur stratégie académique.

Retrouvez les positions des listes ENSEMBLE dans leur profession de foi :

Les candidat-es des listes ENSEMBLE

Collège 4A

  • Vanessa Louzier, Professeure de Physiologie, Pharmacodynamie et Thérapeutique – Vétérinaire, VetAgro Sup, secteur « Sciences, Techniques »
  • Frédéric Roche, Professeur des universités-praticien hospitalier, Faculté de médecine, Université Jean Monnet St-Etienne, secteur « Santé »
  • Karine Bennafla, Professeure de géographie, Université Jean Moulin Lyon 3, secteur « ALL-SHS »
  • Edouard Lynch, Professeur d’histoire contemporaine, Université Lumière Lyon 2, secteur « ALL-SHS »

Collège 4B

  • Simon Gadras, MCF en sciences de l’information et de la communication, Institut de la communication, Université Lumière Lyon 2, secteur « DEG »
  • Béatrice Jaluzot, MCF HDR en droit privé, Sciences Po Lyon, secteur « DEG »
  • Jérémy Rossi, MCF en STAPS, Faculté de Médecine, Université Jean Monnet, secteur « Sciences, Techniques »
  • Vanina Jobert-Martini, MCF en études irlandaises, Faculté des langues, Université Jean Moulin Lyon 3, secteur « ALL-SHS »

Les listes ENSEMBLE sont les seules listes candidates dans les deux collèges enseignant-es-chercheur-es. Une i liste BIATSS et une liste étudiantes se présentent également dans leur collège respectif. Retrouvez la composition de ces listes dans l’arrêté électoral de l’UDL.

Comment les élections au CA de l’UDL fonctionnent-elles ?

Les élections auront lieu les 21 et 22 septembre 2021. Il s’agit d’un scrutin indirect : seuls de grand-es électeur/rices (GE) votent. Ils/elles ont été choisies par les instances de chaque établissement membres, parmi les élu-es siégeant dans ces instances.

Consultez ici la liste des GE pour le collège 4A (PR) et ici la liste des GE pour le collège 4B (MCF).

Les enseignant-es-chercheur-es de Lyon 2 sont représenté-es par 8 GE membres du CA de Lyon 2 (4 PR et 4 MCF). Ces GE ont été votés par le CA, à partir d’une proposition portée conjointement par les listes AGIR et CHANGER. Par ailleurs, les élus AGIR impliqués dans la constitution des listes ENSEMBLE ont associé à ce travail des représentant-es des listes CHANGER, dans la mesure de ce que les délais courts permettaient.

Réélection de N.Dompnier à la présidence de l’université

Lors du Conseil d’administration du 5 février 2021, Nathalie Dompnier, candidate des listes AGIR, à été élue Présidente de l’Université Lumière Lyon 2 pour un deuxième mandat.

Nathalie Dompnier a été élue au second tour avec 24 voix sur 35, 8 voix pour le candidat Guillaume Protière, 2 bulletins blancs et 1 bulletin nul.

Consultez sur l’intranet de l’université le détail des résultats et le mot de remerciement de N.Dompnier.

Élection des personnalités extérieures

Le Conseil d’administration (CA) de l’université est désormais au complet. En effet, en plus des administrateur/rices élu-es lors des élections de décembre 2020, il a été complété de huit personnalités extérieures, conformément aux statuts de l’université.

Parmi ces huit personnalités extérieures, trois sont désignées par les institutions qu’elles représentent :

Cinq autres personnalités sont élues par les autres membres du CA, suite à un appel à candidature public. Les candidat.es proposé.es ou soutenu.es par AGIR ont été élu.es :

Ces huit administrateur/rices jouent un rôle essentiel en ce qu’ils/elles représentent différents secteurs de la société. Nous sommes très heureux/ses de leur participation à notre CA et les remercions chaleureusement pour leur implication au service de notre université.

MERCI !

Les élections 2020 aux conseils centraux de l’Université Lumière Lyon 2 sont terminées. Les taux de participation sont élevés. Les électeur/rices des collèges A et B ont donné à notre liste la majorité des sièges de ces collèges dans les trois conseils !

Consultez le détail des résultats dans l’arrêté de proclamation des résultats.

Un budget 2020 ambitieux au service des missions de l’Université

Le Conseil d’administration du 6 décembre a adopté le budget et la campagne d’emplois 2020, les derniers du mandat en cours de la présidence soutenue par la majorité AGIR.

Ce budget, tout en veillant à préserver les équilibres financiers pour les années à venir, relève de choix politiques majeurs traduisant non seulement les divers projets que nous avons souhaité porter et soutenir, mais, plus encore, une vision de l’Université et de son avenir. Le budget 2020 traduit la politique menée depuis le début de la mandature visant à corriger une situation où l’établissement n’arrivait souvent plus à soutenir ses activités quotidiennes ni à anticiper l’avenir. Il prolonge le rééquilibrage entre les composantes, le soutien aux unités de recherche et le renforcement des équipes pour permettre le déploiement des projets des composantes et laboratoires. Il s’inscrit dans la vision que nous portons depuis le début du mandat : le budget est un outil pour donner à l’université les moyens d’assurer dans les meilleures conditions ses missions auprès des étudiant.es et de la société, dans le domaine de la formation et de la recherche. Cela se décline dans les trois volets du budget : la campagne d’emploi, qui doit servir le dynamisme des équipes et la qualité de nos activités ; le budget de fonctionnement, qui soutient l’activité quotidienne de l’ensemble de l’établissement ; les investissements, pour améliorer les outils et les conditions d’études et de travail à université.

Une nouvelle campagne d’emploi ambitieuse

La mise en œuvre d’une politique d’emploi s’opère nécessairement sur plusieurs années. Ainsi, les grandes orientations du mandat se poursuivent dans la campagne d’emplois 2020. Depuis 2016, la masse salariale de notre établissement a crû de 7%. En termes plus concrets, cela s’est traduit par la création nette de 32 postes de BIATSS et de 8 postes d’enseignant.es et enseignant.es-chercheur.es. Les postes BIATSS créés de 2017 à 2019 ont permis le renforcement de services exsangues ou en sous-effectif, renforcement indispensable pour tout un ensemble de mises à niveau ou de nouveaux projets (par exemple dans le domaine de l’immobilier, de l’informatique, de l’accompagnement des personnels, de la santé et de la vie étudiantes).

Cette consolidation opérée, les marges d’action ont été prioritairement fléchées en 2020 sur la campagne d’emplois enseignant.es et enseignant.es-chercheur.es. Par ailleurs, tout en veillant à la préservation des disciplines rares et des domaines de spécialité de l’établissement, des redéploiements ont été opérés entre composantes, depuis le début du mandat, en vue d’un rééquilibrage des taux d’encadrement, et donc des conditions d’études et de travail, au sein de l’établissement. Dans le même temps, le choix fait en 2019 de doubler le nombre de CRCT attribués localement a été reconduit pour 2020. On sait qu’il s’agit là d’un dispositif essentiel dans la carrière des enseignant.es-chercheur.es.

Cet accent très fort mis sur la politique d’emploi s’est aussi traduit par une résorption importante de la précarité – il s’agissait d’un axe fort du projet présenté par AGIR en 2016. Cela passe par l’ouverture de concours chaque année dans la campagne d’emplois. Cela passe également par un effort constant pour limiter le nombre de temps incomplets, en mettant prioritairement des temps pleins au recrutement et en augmentant les quotités de travail des agent.es dès que cela est possible (baisse de 41% du nombre de temps incomplets parmi les personnels BIATSS en 4 ans).

Un soutien aux projets de la communauté et aux initiatives des composantes et laboratoires

En 2016, nous avons fait le diagnostic qu’il existait dans le budget des marges de manœuvre non utilisées. L’objectif de l’université n’étant évidemment pas d’épargner sur sa dotation, il nous semblait indispensable d’utiliser pleinement les ressources de l’établissement pour mieux accompagner ses étudiant.es, pour faire vivre sa formation et ses activités scientifiques. La Présidence AGIR a respecté cet engagement et le budget 2020 vient stabiliser cette tendance. Sur la mandature, le budget de fonctionnement de l’établissement aura ainsi progressé de près de 40%.

Cette augmentation a permis de mieux doter les unités de recherche. Le budget qui leur est consacré augmente en 2020 pour la troisième année consécutive. Depuis 2017, l’accroissement de la dotation des laboratoires aura ainsi été de 27%. C’est là un choix décisif, celui de permettre aux unités de recherche de garantir leurs activités régulières par un financement récurrent suffisant. Si l’Université encourage et accompagne les réponses aux appels à projets en vue de bénéficier de financements complémentaires, elle entend aussi assurer à l’ensemble de ses chercheur.es les moyens de mener à bien des travaux qui ne trouvent pas nécessairement ou pas immédiatement de sources de financement extrabudgétaires. Pour autant, l’établissement encourage les initiatives à travers la consolidation du budget consacré aux appels à projets internes et à l’organisation de manifestations scientifiques.

Le renforcement du fonctionnement permet également de soutenir les initiatives des UFR et instituts. Depuis 2016, les budgets successifs ont permis de mettre en œuvre de nombreux projets portés par les équipes pédagogiques, au service de l’amélioration de l’accueil et de la formation des étudiant.es. Les composantes porteuses de tels projets ont ainsi vu leur budget de fonctionnement augmenter au cours des trois dernières années (jusqu’à + 60%). En 2020 encore, le budget de l’établissement permet de répondre aux besoins exprimés par les composantes pour soutenir les initiatives spécifiques à leurs formations et domaines disciplinaires. Il garantit aussi l’amélioration des conditions d’études et de travail pour tou.tes à travers le financement de projets portés à l’échelle de l’établissement. L’accent a notamment été porté cette année sur l’aide sociale en direction des étudiant.es, les activités culturelles et l’internationalisation des formations.

Investir pour améliorer les conditions de travail et d’études

Le budget 2020 poursuit la politique d’investissement massif de l’établissement, qui nous permet non seulement d’améliorer les conditions d’étude et de travail, mais également de préparer l’avenir. Là où le budget 2017 prévoyait 5,6 millions d’euros d’investissements, le budget 2020 prévoit 21 millions d’euros. Ce ne sont pas seulement les projets de constructions sur le campus Porte des Alpes (Maison des sports, Learning Centre, Maison de la création…) ; ce sont aussi la rénovation du réseau wifi, l’équipement informatique des personnels, la réfection des cours intérieures du campus Berges du Rhône, la rénovation des amphithéâtres et l’équipement progressif des salles de cours (mobilier, audiovisuel, salles informatiques…), la rénovation des équipements sportifs, etc.

Ces opérations sont permises par le renforcement des équipes des services centraux qui possèdent désormais les forces et les compétences techniques adaptées pour mener à bien de tels projets, de manière durable. Elles permettent de développer des biens communs, des équipements qui bénéficient à l’ensemble des personnels et étudiant.es, quelle que soit la composante ou le service dont ils/elles relèvent.

Le budget 2020, et ceux qui l’ont précédé depuis 2016, traduisent des choix politiques qui bénéficient à l’ensemble de l’établissement. Ces orientations ont d’ailleurs été approuvées par la plupart des élu.es, indépendamment de leur liste d’origine : les budgets ont toujours été adoptés à une très large majorité du CA, notamment à l’unanimité des élu.es enseignant.es-chercheur.es (à l’exception d’une voix contre pour le budget 2020). La campagne électorale qui s’ouvre ne doit pas faire oublier cette adhésion commune à des projets qui ont permis, pendant quatre ans, un réel développement de l’Université Lumière Lyon 2.

En dépit d’une dotation (subvention pour charge de service public) et d’un financement moyen par étudiant.e qui restent insuffisants au regard des besoins de l’établissement, les budgets que la Présidence AGIR a proposé ces quatre années ont permis une amélioration sensible des conditions dans lesquelles sont menées les activités de formation, de recherche, de diffusion des savoirs et d’internationalisation de l’université. Nous aurons l’occasion, au cours des semaines qui viennent, de revenir sur l’ensemble des réalisations que cette politique a permises et les transformations profondes qu’elles ont initiées. Nous sommes convaincu.es qu’il faut poursuivre cette politique ambitieuse de soutien à l’activité de l’ensemble des équipes et d’investissement dans l’avenir de l’établissement.

La liste AGIR pour une université démocratique, ouverte et solidaire